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Modification du zonage Pinel

Tendances Immobilier

Pour minimiser la tension générale de la location dans l’immobilier, le gouvernement a reclassé plus de 200 communes vers un zonage A ou B1 afin d’augmenter les aides à l'investissement locatif (via le dispositif Pinel) et à l'accession à la propriété de manière localisée.

Rappel des différents zonages Pinel

Zone A bis : Paris et sa petite couronne. Il s'agit de la zone la plus tendue, où la demande locative est la plus élevée. Les investissements Pinel dans cette zone offrent les avantages fiscaux les plus intéressants.

Zone A : Les grandes métropoles françaises, telles que Lyon, Marseille, Toulouse, Nice, Lille, et certaines villes de la région parisienne. Les avantages fiscaux sont toujours attrayants dans cette zone.

Zone B1 : Les agglomérations de plus de 250 000 habitants, ainsi que certaines villes où la demande locative est élevée. Il s'agit d'une zone intermédiaire en termes d'avantages fiscaux.

Zone B2 : Les villes de plus de 50 000 habitants et certaines zones rurales où la demande locative est significative. Les avantages fiscaux sont réduits dans cette zone.

Zone C : Les communes qui ne sont pas couvertes par les zones précédentes. En 2023, le zonage Pinel est supprimé pour cette zone, ce qui signifie qu'il n'est plus possible de bénéficier des avantages fiscaux dans ces communes.

Les nouveautés de 2023  

L'un des changements les plus significatifs résultant de cette réforme est l'élargissement du nombre de villes éligibles au dispositif Pinel. Plus de 140 communes ont intégré le zonage, ce qui signifie que les investisseurs ont désormais un choix plus vaste de lieux où investir. Ces nouvelles villes sont principalement situées en dehors des grandes métropoles, dans des régions où la demande locative est en croissance. Cela représente une opportunité intéressante pour les investisseurs à la recherche de biens immobiliers attractifs.

Le remaniement du zonage Pinel a également entraîné le reclassement de certaines grandes métropoles en zone A. Les zones A et A bis sont considérées comme les plus tendues en termes de demande locative, offrant ainsi les réductions d'impôt les plus avantageuses pour les investisseurs. Ce reclassement concerne des villes telles que Bordeaux, Toulouse, La Rochelle, Annecy et Strasbourg. Les investisseurs qui achètent des biens immobiliers dans ces zones bénéficieront de taux de réduction d'impôt plus élevés, ce qui peut renforcer l'attrait de ces emplacements.

Les avantages de l’élargissement du dispositif et impact sur la vente en bloc de logements

Le remaniement du zonage Pinel offre plusieurs avantages aux investisseurs immobiliers. Le passage d'une ville de la zone B1 à la zone A entraîné une augmentation du plafond de loyer applicable, ce qui favorise la rentabilité des investissements. De plus, le plafond de ressources des locataires augmente également, élargissant ainsi la base de locataires éligibles au dispositif Pinel. Le changement de zonage renforce la demande locative dans ces zones, ce qui est positif pour les investisseurs.

Ce reclassement a permis à 140 communes classées en zone B2 de redevenir éligibles au dispositif Pinel, après avoir été exclues à la suite du recentrage du dispositif sur les zones A et B1.

Au-delà d’augmenter la cible d’investisseurs individuels, cette réforme a aussi un impact sur la vente en bloc de logement. Le zonage Pinel permet d’augmenter les valorisations de l’investissement en nue propriété (montage ULS et ULI), du logement locatif intermédiaire et d’accéder au PLS lors d’une vente en bloc sociale.

Agissez Rapidement

Il est essentiel de prendre en compte que le dispositif Pinel est amené à disparaître en 2025, sans qu'un remplaçant ne soit prévu à l'heure actuelle. Les avantages fiscaux du Pinel ont déjà été progressivement réduits au fil des années, ce remaniement donne un nouvel élan, n’attendez plus.

Retrouvez ci-dessous la liste des villes concernées :

Top 5 des villes étudiantes

Ça y est, le lycée c’est fini et vous vous dirigez maintenant vers vos études supérieures. Mais quelle est la meilleure ville de France pour un étudiant ? Quelle est la ville qui réussira à combler vos attentes ?

L’équipe de Vefaonline vous donne sont top 5 des villes étudiantes pour vous aider à répondre à ces questions !

 Nantes

 1. Formation

 Nombre d’étudiants à Nantes : 62 000

 L’université de Nantes offre une grande diversité en matière de formations : droit, économie, gestion, arts, lettres, langues, sciences, santé, technologie, sciences humaines et sociales. L’établissement offre des diplômes LMD, des DUT et des formations d’ingénieurs, en alternance ou en formation initiale.

Les lycées proposent également un large choix de classes préparatoires et de BTS accessibles en post bac.

Nantes offre aussi une grande diversité d’écoles de management (Audencia), Artistique et culturel, médico-social, d’ingénierie(Centrale, Mines, ICAM) …

Nantes offre une multitude de cursus pour tous les domaines.

 2. Cadre de vie

 Cout de la vie :

 En termes de logement, Nantes reste très accessible aux étudiants, que ce soit sur le prix et le lieu, par rapport à d’autres villes comme Paris, Lyon ou Bordeaux. Vous trouverez un bien pour un loyer moyen de439€ par mois hors charges.

Vous trouverez forcément votre bonheur dans toutes les offres de résidences étudiantes, de colocations ou de studios.

En ce qui concerne les transports en commun, l’abonnement annuel à la carte Tan pour les moins de 26 ans est de 224€ (ou 32,80€ par mois). De plus, la carte dispose de plusieurs options, que ce soit l’accès à un parking vélo, empreint de vélo, location de voiture…

Pour faire vos courses vous retrouverez bien évidement des super marchés dans le centre-ville et des hypermarchés en périphérie. Dans ces enseignes les prix restent dans la moyenne nationale. Si vous ne souhaitez pas vous ruiner en faisant les courses, vous trouverez plusieurs marchés dans la ville, des actions solidaires pour les étudiants et les cafétérias CROUS.

Comptez un budget de 200 à 250 € pour manger.  

Loisirs :

Les activités ne manquent pas à Nantes. La ville a fait de la culture une de ses priorités. Le quartier de la création sur l’île de Nantes qui accueille les Machines de l’île est un symbole de la ville.  De nombreux musées sont gratuits, ce qui vous permettra de vous cultiver sans débourser un centime (Musée d’histoire naturelle, d’arts, d’histoire, …).

Pour vous promener il vous sera possible de découvrir l’architecture nantaise, le street-art qui a une place importante dans la ville et si vous êtes plutôt nature les nombreux parcs et le jardin des plantes devraient vous plaire.

Pour les adeptes de la vie nocturne, la réputation de Nantes n’est plus à faire. Les nombreux bars et boîtes de nuits du centre-ville vous permettront de vous amuser à la hauteur de vos attentes.

Montpellier

 1. Formation

Nombre d’étudiants à Montpellier : 80 000

Montpellier vous offre l’embarras du choix en ce qui concerne les formations. Les établissements de l’enseignement supérieur ne manquent pas et il y en a de toutes sortes, pour tous les cursus.

Il existe 3 UFR à Montpellier :

  • L’Université de Montpellier (droit, médecine)
  • L’Université Montpellier III — Paul Valéry (arts, lettres, langues, sciences humaines et sociales)
  • L’Université du Tiers-Temps

En ce qui concerne les écoles spécialisées il y en a une multitude, que ce soit école de commerce, musique, tourisme, technologique, notariat …

 2. Cadre de vie

Cout de la vie :

 Pour se loger dans cette ville, le loyer s’élève en moyenne à 479€ par mois pour des petites surfaces (hors charges). L’offre de ce type de biens est grande et variée, que ce soit des chambres, colocations, studios,T1... beaucoup se situent à proximité des facultés et des campus universitaires.

Pour ce qui est des transports en commun, l’abonnement annuel s’élève à 196€ par an pour les étudiants, ce qui vous donnera accès aux4 lignes de tramway et aux 41 lignes de bus.

Vous aurez aussi accès pour 10€ de plus à Vélomagg, le service de location de vélo de la ville. Les jeudis, vendredis et samedis le réseau TAM et l’Amigo vous permettront d’effectuer des trajets en minibus le soir pour rejoindre les lieux de soirées étudiantes, les clubs et discothèques situés à l’extérieur du centre-ville, et ça de minuit à 5 heures du matin.

De plus, depuis 2020 les transports en communs sont gratuits le week-end pour les habitants de la métropole.

En ce qui concerne les repas, le restaurant universitaire et les cafétérias du CROUS vous proposent un repas pour 3,25 euros et les food trucks du CROUS proposent des repas à petits prix.

Sinon vous retrouverez des supermarchés un peu partout dans la ville et des hypermarchés en périphérie.

Prévoyez un budget de 200 à 250 € par mois pour manger.

Loisirs :

Pour vous divertir vous trouverez une multitude d’activités à Montpellier :

Avec son climat ensoleillé Montpellier vous permettra de visiter de nombreux bâtiments historiques, des musées de la ville, vous promener dans le centre historique, profiter des différents festivals et concerts …

Autour de Montpellier vous trouverez des cathédrales, des plages de sable et des grottes accessibles en Tram.

Pour ceux qui veulent faire la fête, Montpellier regorge de lieux dédiés à ça. Avec ses 80 000 étudiant et 1 habitant sur 2 qui a moins de 30 ans, la ville est jeune et dynamique. Vous trouverez bien entendu de nombreux bars et discothèques. Que ce soit à l’Espace Latipolia, l’avenue Raymond-Dugrand ou en centre-ville les occasions de faire la fête ne manquent pas dans la ville.

Pour les amateurs d’électro, cette ville sera votre paradis.La métropole est une référence dans le milieu. Elle vit au rythme des festivals électro et des soirées organisées.  

Rennes

1. Formation

Nombre d’étudiants à Rennes : 70 000

 Les établissements d’enseignement supérieurs ne manquent pas à Rennes. Il y a d’abord les 2 grandes universités : Rennes I et RennesII.

Rennes I propose 18 licences divisées en trois domaines : La science et la technologie, la santé, l’économie et les sciences humaines.

Rennes II quant à elle propose Langues, sciences humaines, STAPS, sciences sociales et Art Lettre Communication.

Vous pouvez aussi retrouver à Rennes Sciences Po, l’écoleNormale Supérieure spécialisée dans la recherche mathématique et la RennesSchool of Business.

Rennes offre une grande diversité de formation, difficile de ne pas trouver son bonheur.

2. Cadre de vie

 Cout de la vie :

 Pour trouver un logement à Rennes, compter en moyenne un loyer de 520€ hors charges. L’hyper centre est très demandé, il vous sera peut-être un peu compliqué de trouver un appartement dans cette zone. Les chambres universitaires sont elles aussi très convoités et difficiles àavoir.  Cependant le quartier Ville jean-Beauregard et le quartier Jeanne d’Arc-Long-Champs-Beaulieu sont des quartiers qui abritent une grande partie de la population étudiante Rennaise et qui devraient vous permettre de trouver un logement abordable et bien placé.  

En ce qui concerne la nourriture, Le CROUS est présent grâce à beaucoup d’infrastructures pour vous proposer un repas pour 3 euros le midi. Sinon vous retrouverez des supermarchés un peu partout dans la ville et des hypermarchés en périphérie. Prévoyez un budget de 200 à 250 € par mois pour manger. Le coût de la vie est dans la moyenne nationale.

 Pour utiliser les transports vous aurez besoin d’une carte KorriGo qui est à 227€ l’année pour les 18 – 26 ans (ou 25,20€ par mois).

 Loisirs :

 Que ce soit la Place Saint-Anne, les Prairies-Saint-Martinou les nombreux espaces verts, Rennes regorge de coin paisible pour se promener et permettant de diversifier ses sorties.

 Pour ce qui est des sorties, la ville accorde beaucoup d’importance à la musique en organisant des festivals et de nombreux concerts.La ville dispose d’un centre-ville très fréquenté par les étudiants pour ses bars. La fameuse Rue de la Soif (rue Saint-Michel) et les rues environnantes accueillent régulièrement 20% des étudiants de la ville pour faire la fête.    

 Vous n’aurez pas le temps de vous ennuyer dans cette ville dynamique qui attire tous les ans de plus en plus de jeunes.

Lyon

 1. Formation

 Nombre d’étudiants à Lyon: 170 000

 La Métropole de Lyon compte plus de 2700 formations, toutes spécialités confondues, regroupés sur 9 campus universitaires. Pour les prépas scientifiques et commerciales de grands noms sont présents à Lyon.

Aux Lazaristes et le Parc sont d’après le palmarès de l’Etudiant des références en France. Le Parc est également parmi les meilleures prépas littéraires. Pour une prépa en physique-technologie le lycée La Martinière-Montplaisir s’affiche en tête de liste des prépas. Idem pour les lycées Ampère et Sainte-Marie, mais cette fois ci pour les prépas commerciales. Et ce ne sont pas les écoles qui manquent (Université deLyon, écoles d’ingénieurs, d’informatique de commerce, IUT …)

Pour faire simple : difficile de ne pas trouver sa voie dans la capitale régionale.

2. Cadre de vie

 Cout de la vie :

 Le manque de logements étudiants est un des principaux points noirs de Lyon. Le nombre de résidence étudiantes privées et du CROUS est trop faible par rapport au nombre d’étudiants demandeurs. La ville de Lyon prévoit de construire des logements sociaux étudiants pour remédier à ce problème.

Le prix moyen pour un studio est de 564 € hors charges.

 Pour se nourrir les initiatives social et durables (pour votre porte-monnaie et pour la planète) ne manque pas. Lyon dispose de tout un panel d’épiceries solidaires étudiante, d’AMAP ainsi que de marchés. Vous trouverez aussi des hypermarchés en périphérie et des plus petites enseignes en centre-ville.

Prévoyez un budget de 200 à 250 € par mois pour manger.

 Pour les 18-25 ans, comptez un budget de 325 € par an pour vous procurer une carte de transport Técély, qui vous donnera accès à tous les transports en commun de la ville.

 Loisirs :

Les quais du Rhône et de la Saône vous permettront de réaliser vos promenades du dimanche dans un cadre tranquille et reposant.

Pour les activités culturelles, Lyon compte 15 bibliothèques, 12 musées et de nombreuses salles de cinéma.

Pour les adeptes de la vie nocturne et des soirées qui se terminent au petit matin il vous sera impossible de rater la fête des lumières ou les Nuits de Fourvières. La ville propose tout un tas d’activités nocturnes (concerts, spectacles, boites de nuit…). Pour ce qui est des rues et des places où se retrouvent les étudiants pour faire la fête, Lyon n’en manque pas. Je vous laisse faire vos recherches sur le sujet mais vous n’aurez pas de mal à trouver.

Pour les sorties culinaires vous n’allez pas être déçus.Lyon a le surnom de « Capitale mondiale de la gastronomie » et ce n’est pas pour rien. Vous trouverez une multitude de restaurants qui vous proposerons les spécialités lyonnaises, comme les quenelles, les coussins deLyon, les bugnes ou encore le tablier de sapeur.  

Bref, Lyon est une ville dans laquelle vous n’aurez pas le temps de vous ennuyer.   

Toulouse

 1. Formation

Nombre d’étudiants à Toulouse : 118 000

Toulouse attire des étudiants de monde entier et sur tout ceux qui souhaitent se spécialiser dans les sciences, la ville étant un pôle des industries de haute technologie. Toulouse est une ville bien connue du domaine aéronautique (berceau d’Airbus), informatique et spatial.

Les institutions de formations les plus connues à Toulouse sont  :

-      L'université Toulouse 1Capitole (droit, informatique et technologies)

-       L'université de Toulouse 2 Le Mirail (histoire, lettres, langues, art, psychologie et sciences sociales)

-       L'université Toulouse 3 Paul Sabatier (maths, sciences, sport et médecine)

-       L'ISAE : Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace

-       Toulouse Business School - 12ème meilleure Ecole de commerce en France (selon l'Etudiant en 2021)

 2. Cadre de vie

 Cout de la vie :

Pour se loger à Toulouse en tant qu’étudiant, il faut compter environ 480€ par mois (hors charges) pour un appartement.

 En ce qui concerne l’alimentation, Toulouse dispose d’une large gamme de Resto-U, avec en moyenne un cout par repas de 3,25€, ce qui reste abordable pour des petits budgets d’étudiants.  De plus le CROUS permet d’accéder à des offres sur des brasseries, La Pause et sur les camions CROUS qui propose de la nourriture aux étudiants proches des campus grâce à des partenariats.

De plus, si vous êtes amateur de bonne nourriture la gastronomie du Sud-Ouest risque de beaucoup vous plaire.  

Pour les étudiants de moins 26 ans les transports en commun(métro, bus, tram) coute 102 € par an et 25€ pour un abonnement à Vélô Toulouse(service de prêt de vélo).

 Loisirs :

Si vous aimez faire la fête, Toulouse pourra répondre à vos attentes. La place Saint Pierre sera votre point de ralliement notamment grâce à sa multitude de bar et pub. Un détour par la rue Gabriel-Péri fera aussi parti de votre circuit festif.

En ce qui concerne la culture, Toulouse a aussi beaucoup d’atouts. Dans cette ville, se cultiver sans se ruiner c’est possible. Toulouse propose une entrée gratuite le weekend pour les grands musées de la ville avec la carte MuséeLibre.

La place du Capitole sera votre point de chute pour aller au ciné et faire les magasins.

De plus, Toulouse possède de nombreux monuments historiques qui n’attendent que votre visite. Les rives de la Garonne et du Canal du Midi, que ce soit pour se promener ou s’y reposer sera un plus pour votre épanouissement total dans la ville rose.

Et bien sûr le soleil Toulousain vous permettra de peaufiner votre bronzage.

Top 5 des applications qui facilitent la promotion immobilière

Proptech

Vous êtes développeur foncier ou responsable de programme et vous souhaitez gagner du temps sur vos tâches répétitives du quotidien ? Vefaonline vous recommande ses applications préférées pour vous faciliter la vie et être plus productif.

 

-       Kaptcher :  pour l’accès au foncier

 C’est le petit nouveau mais on imagine le potentiel. Leur interface permet aux particuliers de mettre en ligne directement la vente de leurs biens à destination de promoteurs immobiliers. Ne cherchez plus en sonnant à chaque porte, le lead vient à vous !

Lien : kaptcher.fr

-      Kelfoncier ou Buildrz : pour l’étude capacitaire

 Ces deux applications très tech ont réussi à croiser des données en open data pour faciliter le travail des développeurs. Ils recensent notamment parcelles et PLU afin de simuler pour vous des faisabilités dans les différentes communes deFrance sur les dents creuses ou les fonciers à fort potentiel. Une véritable aide à la prospection.

 Liens : kelfoncier.com   buildrz.io

-      Unlatch :  pour la commercialisation des biens aux particuliers

Anciennement Legalife, Unlatch est devenu en très peu de temps un logiciel très puissant pour la dématérialisation de la vente de biens immobiliers, notamment en VEFA.Interfaces intuitives et désignées pour faciliter le travail des équipes commerciales ou des responsables de programmes, Unlatch travaillent aujourd’hui avec plus de 200 promoteurs ! Pas besoin d’en dire plus. Ah oui, en plus de la dématérialiser des process de vente, ils s’orientent vers des outils CRM ! A suivre de près.

Lien : getunlatch.com

-      AOS : pour la consultation des entreprises en phase travaux

AOS est un logiciel permettant d'organiser en ligne et simplement les consultations d'entreprises travaux. Dites (enfin) au revoir à votre fichier Excel pour l’analyse des offres et le suivi des missions ! AOS permet d’avoir une vision360 de l’appel d’offre et travaille déjà avec plus de 400 clients, n’attendez plus !

Lien : go-aos.io

-      Vefaonline : pour trouver un partenaire sur la part des programmes à commercialiser en bloc

Le coup du pub ! Oui c’est vrai, sur ce sujet, on pouvait difficilement ne pas parler de nous ! Mais on le fait à la fin de l’article, pas de surprise !Gagner du temps, être efficace c’est ce qui a porté la fondatrice à créer le projet. Concrètement, côté promoteurs immobiliers, cela permet de consulter en quelques clics des acheteurs institutionnels. Via un envoi unique et multi-acquéreurs de votre dossier de vente, fini les relances interminables par mail et téléphone. Côté acheteurs, grâce à Vefaonline vous centralisez sur une interface unique de nouveaux dossiers de VEFA à étudier et augmenter vos capacités de développement avec des promoteurs qui n’auraient pas eu le réflexe de vous appeler. Gagnant – gagnant!

Lien : vefa-on-line.com

Se loger à Paris quand on est étudiant

Bailleurs

Ça y est vous avez votre BAC en poche et vous avez trouvé une formation supérieure à Paris. Vient alors la première étape de votre installation, trouver un logement. Dans le plus beau des mondes vous trouverez un grand appartement avec piscine et toit terrasse pour 300 €/mois, mais la réalité est bien plus compliquée car se loger sur Paris coûte cher et les hébergements qui entrent dans les critères des étudiants sont peu nombreux et très demandés.

La première chose à faire avant de rentrer dans le nerf de la guerre est de se constituer un dossier de candidature complet pour pouvoir l’envoyer rapidement car le marché de l’immobilier en région parisienne est très rapide.

Composition d’un dossier type :

-Si vous êtes étudiant :

· Une fiche de renseignements (souvent fourni par l’agence ou le propriétaire)

· Photocopie de votre carte d’identité

· Photocopie de votre carte étudiante

· Une convention de stage (si vous êtes en stage)

· Une attestation d’inscription

-Il vous faudra également fournir les pièces pour un garant de location (vos parents la plupart du temps) :

· Photocopie d’une pièce d’identité

· Une attestation de l’employeur mentionnant la date d’embauche, le type de contrat (CDI, CDD…), la rémunération

· Les trois derniers bulletins de salaire

· Le dernier avis d’imposition

· La taxe foncière (si propriétaire)

· Les trois dernières quittances de loyer (si locataire)

Une fois ce dossier créé, une multitude de possibilités s’offre à vous pour trouver votre logement.

Passer par une agence immobilière ?

En tant que professionnel de l’immobilier, les agences ont pour avantage de connaître le marché (et faire respecter les prix s’ils sont encadrés, c’est le cas à Paris), d’avoir un portefeuille de biens en gestion, et faire le lien entre vous et le propriétaire. Cependant, les agences immobilières se rémunèrent avec un système établi selon la superficie du logement. En moyenne à Paris, comptez 12€/m², plus les frais de dossier. Vous aurez donc des frais

mais c’est l’agence qui s’occupera de trouver votre logement. De plus, régulièrement les agences vous aident à créer votre dossier de candidature.

Louer à un particulier ?

Le processus est normalement plus rapide pour louer votre logement. Les particuliers cherchent et répondent eux même aux demandes, ce qui est plus rapide qu’une agence immobilière. L’autre avantage est que contrairement aux agences, il n’y a pas d’honoraires.

Vous trouverez des offres de logements classiques, meublés ou non. Attention, parfois les prix sont un peu sur évalués par les propriétaires, renseignez sur les loyers pratiqués sur des sites comme : seloger.com ou meilleursagents.com

Vous trouverez aussi des offres de particuliers un peu mois ordinaires de ce type :

Certains louent des pièces au sein de leur maison, on parle alors de colocation. Les tarifs sont donc moins élevés et les propriétaires sont à deux pas si vous avez le moindre problème.

D'autres particuliers encore, proposent le logement à très faible coût en échange de services rendus. C'est le cas de personnes âgées, qui ont besoin d'une aide quotidienne : ménage, courses, etc. Plutôt que de choisir un travail à mi-temps, vous rendez service à votre loueur tout en restant chez vous. Si vous songez à ce type de logement, vous pouvez chercher un logement près de votre future école. Vous bénéficiez ainsi d'un loyer moins cher que ceux du marché, tout en vivant dans la capitale.

Pour trouver ce type de logements vous pouvez utiliser différents sites internet comme Leboncoin.com, studylease.com, immojeune.com, studapart.com

Louer à un bailleur social ?

Certains bailleurs sociaux ont une offre pour les étudiants. Parmi ces offres vous pouvez trouver des résidences étudiantes, mais aussi des logements classiques (T1, T2, T3) conventionnés APL. Ces logements sont en principe attribués sur critères sociaux. Ils sont parfois meublés et situés en périphérie de la ville. Vérifiez bien que la desserte de votre école ou université ne soit pas trop compliqué et trop long.

L’eau, le chauffage et l’électricité sont généralement compris dans le loyer.

Pour trouver ce type de logement, contactez les bailleurs sociaux et les offices d’HLM de la ville en question (il peut y en avoir plusieurs par ville).

Location d’un logement meublé ou pas ?

Pour les petites surfaces, la location d’un logement meublé est fortement conseillée. Le prix de ce type de bien n’est pas beaucoup plus cher qu’un logement non meublé et apporte bien plus d’avantages. Louer en meublé vous permet d’arriver et de directement poser vos valises. Pas besoin de trouver et d’acheter des meubles, qui aurait pu vous prendre beaucoup de temps et d’argent. De plus, au moment de quitter le logement, pas besoin de

s’ennuyer à revendre les meubles ou de les déménager. Vous l’aurez compris, louer un logement meublé offre plus de liberté et facilite certaines démarches.

Cependant, si Valérie Damidot est votre idole et que la décoration d’intérieur est votre péché mignon, un logement non meublé vous permettra de vous faire plaisir car tout sera à faire.

Colocation ?

La colocation peut être un bon moyen de trouver un logement de bonne taille pour un prix raisonnable (souvent égal voir inférieur à un loyer d’un studio classique). Deux options s’offrent à vous pour trouver un logement de ce type.

Soit vous trouvez un grand logement avec vos amis et vous en faites une colocation (attention, certains propriétaires n’acceptent pas de louer à des jeunes pour une colocation).

Soit vous trouvez une colocation déjà existante, avec des locataires déjà présents. Cette option est très intéressante si vous ne connaissez personne dans la ville dans laquelle vous venez d’emménager ou si vous aimez juste rencontrer de nouvelles personnes.

Là encore vous trouverez des logements déjà meublés (ce qui se fait de plus en plus en colocation) ou des logements vides.

Malgré tout, attention ! Vivre en colocation n’est pas fait pour tout le monde. Que ce soit avec vos amis ou des personnes que vous ne connaissez pas, vivre en communauté ne réussit pas à tout le monde.

Avant de se lancer dans une colocation il est très important de voir si c’est vraiment ce que vous souhaitez.

Pour trouver ce type d’offre, vous trouverez des sites internet spécialisés dans les colocations. (Appartager.com, lacartedescolocs.fr, leboncoin.com …)

Coliving, la résidence étudiante nouvelle génération

Le coliving c’est un logement meublé qui se décompose en espaces privatifs (chambre, salle de bain, petite cuisine) et partagés (salon, salle de sport, terrasse, salle de jeu…)

De plus un large panel de services mutualisés s’ajoute à cette offre (wifi, Netflix, ménage, conciergerie…).

Le coliving vous permettra également de réaliser des économies. Occuper son espace privatif et bénéficier des espaces partagés avec tous les services qui vont avec coûte environ 850 € par mois contre 1000€ pour un petit appartement meublé à Paris.

Pour trouver ce type d’offre vous pouvez vous tourner vers des sites spécialisés, comme livecolonies.com, whoomies.com, colivme.com.

Résidence universitaire ?

Si vous souhaitez vivre en communauté mais tout de même avoir votre espace personnel, la résidence étudiante est une bonne option. Ces logements prennent en compte les besoins d'un étudiant en proposant très souvent une location meublée : lit, cuisine, bureau et

rangement. Ça vous permet d’avoir votre logement personnel, mais vous vivez à coté de pleins d’étudiants. Il vous suffit d’aller sonner chez les voisins pour faire de nouvelles connaissances. De plus, il n’est pas rare de voir des résidences qui proposent des lieux de rencontre, comme un salon, une salle de jeux, un lieu pour manger en communauté, un jardin, une salle de sport…

Là encore, différentes façons vous permettent de trouver ce type de logement. Vous n’aurez pas de mal à trouver des résidences universitaires privés sur internet.

Sinon, vous avez la possibilité de demandé une chambre auprès du CROUS. Faire appel au CROUS peut être très avantageux pour vous car les prix sont généralement bien inférieurs au prix du marché. Cependant il assez compliqué de se faire attribuer une chambre car il a beaucoup de demandes et pas assez d’offre. Il faut donc si prendre à l’avance pour être dans les premiers.

Calendrier CROUS 2021 :

· Affichage de l’offre de logement : 4 mai 2021

· Ouverture du dépôt de vœux pour la phase principale : 5 mai 2021 à 10h

· Fermeture du dépôt de vœux : 23 juin 2021 à 10h

· Décision d'attribution : 29 juin 2021

Crous de Paris : https://www.crous-paris.fr/

Conclusion : Se loger à Paris avec un loyer convenable pour un étudiant s’apparente un peu à un parcours du combattant. Une multitude de possibilité s’offre à vous, alors choisissez celle qui vous convient le plus et anticipez ! La concurrence est rude mais vous y arriverez ! Bonne chance dans vos recherches et ce n’est que le début d’une super année à Paris !

Impact du covid19 sur les aspirations immobilières des français

Tendances Immobilier

L’impact du COVID19 sur les aspirations immobilières des Français  

Le confinement décidé par le Gouvernement pour faire face à l’épidémie de COVID-19 n’a pas été vécu de la même façon par les français. Le lieu de vie a souvent été déterminant dans la gestion de cet épisode inédit.  

A travers une étude conduite par l’Insee et Harris Interactive en 2020, Vefaonline vous donne des éléments de réponse sur l’état des lieux du logement avant le COVID19 et les nouvelles aspirations des Français.  

Le logement des Français avant la crise sanitaire

Selon les données de l’Insee, au 1er janvier 2019, la France compte 36,6 millions de logements. 82% de ces logements sont des résidences principales, 10% des résidences secondaires et 8% des logements vacants.  

16% des résidences principales se trouvent dans l’agglomération parisienne et 21% dans des communes rurales. En 35 ans, ces proportions ont légèrement diminué, au profit des unités urbaines autres que Paris (63%). Quant aux résidences secondaires, elles se situent principalement dans les communes rurales et les petites villes.  

Les français, principalement propriétaires

58% des ménages sont propriétaires de leur résidence principale. Pour ceux qui sont locataires, 23% sont locataires du parc privé et 17% du parc social. Parmi les propriétaires, un tiers n’a pas encore terminé le remboursement du prêt; ce chiffre est stable depuis une dizaine d’années.  

 

En 2019, six ménages sur dix sont propriétaires de leur résidence principale

 La superficie, facteur clés du bien-être dans son logement.

Les Français ont une préférence pour les maisons, qui représentent 56% des logements. Cette proportion a légèrement diminué depuis 2008, car le nombre de logements collectifs augmente plus vite que le nombre de logements individuels.  

Sur la dernière enquête de l’Insee sur les conditions de logement en France, les maisons ont en moyenne 4,9 pièces à vivre, tandis que les appartements ont en moyenne 2,9 pièces. Entre 2010 et 2013, la superficie des maisons est passée de 108,1 mètres carrés à 112,2mètres carrés. En revanche, la superficie des appartements est quant à elle passée de 65,2 mètres carrés à 63 mètres carrés.  

C’est environ 8,5% des logements français qui sont surpeuplés. La surpopulation est principalement présente chez les ménages de la région parisienne (9%) et dans les unités urbaines de plus de100 000 habitants (9%). Généralement c’est dans des cas de location, sous-location ou de logement gratuit.  

Les tendances post confinement

1.   Privilégier les grandes surfaces

A la question « Avez-vous mal vécu votre confinement au sein de votre logement » 29% des personnes interrogées ont répondu oui.  

Le premier critère mis en avant est la superficie des logements qui a été citée dans 72% des cas.  

Le second critère qui a gagné en popularité dans les aspirations des personnes interrogées sont les espaces extérieurs. Il devient fondamental pour 50% des interrogés.

Ainsi, selon les recherches du promoteur Capelli, la première tendance semble être que les citadins souhaitent/ont besoin d’un bien « calme, proche de la nature avec une superficie supérieure à ça qu’ils ont ». Ce constat a été fait par 1/3 des interviewers.  Et « 17% estiment désormais que la proximité du logement avec leur lieu de travail est moins importante » toujours selon l’étude.

2.    Devenir propriétaire oui, mais plus nécessairement dans l’hyper centre

 Le confinement a changé les critères d’achat de biens immobiliers. Parmi les 61% des personnes interrogées qui avaient un plan d’achat avant cet événement, 42% ont modifiés leurs critères de recherche.  

Leur volonté d’achat en revanche n’a pas été affectée. 87% souhaitent toujours acheter une résidence principale et les 13% restants souhaitent investir dans le locatif.

79% des personnes interrogées avant le confinement ont modifié les critères de leurs recherches, principalement dans l’objectif de trouver une plus grande surface d’habitation. Actuellement, 98%des acheteurs ambitionnent une plus grande superficie par rapport à leur logement actuel.  

La tendance est similaire au niveau des espaces extérieurs. Les balcons, terrasses et jardins sont devenus la coqueluche des recherches. Ils sont 38% de plus à vouloir se procurer un bien avec un espace extérieur privatif. Le taux de demande pour ce critère est passé de 47% à 85% suite à ces confinements répétés.  

La volonté d’avoir une piscine s’est aussi fait ressentir avec une augmentation de 29 points, ce qui représente maintenant 31% des demandes contre 5% avant la crise.  

Ces études montrent également des changements de critères pour les ménages n’ayant pas encore de projets immobiliers.

Pour les 39% des ménages qui n’avaient pas de projets immobiliers avant la crise, c’est aujourd’hui la moitié d’entre eux qui est prête à se lancer dans l’acquisition d’un bien.  

·     83% souhaitent devenir propriétaire ou changer de lieu de vie

·     84% veulent un bien en province.  

La moitié des agglomérations privilégiées par tous les candidats sont des petites villes de 5 000 à  200 000 habitants ou des villages de moins de 5 000 habitants.

Responsable du développement - Missions, salaire, études, journée type

Responsable du développement

Dans cet article vous allez découvrir le métier de responsable du développement. Ce métier essentiel dans la promotion immobilière mérite d’être connu ! C’est pourquoi nous vous proposons de découvrir ce métier à travers une description des missions et des compétences mais surtout une interview « Journée type » de Marc S, responsable du développement chez un promoteur Parisien.

Missions :

La mission du responsable de développement est de trouver des biens immobiliers. Les biens peuvent être des terrains à bâtir ou des immeubles à rénover.

Pour trouver ces biens le responsable du développement prospecte une zone géographique ciblée par l’entreprise. Il est donc régulièrement amené à se déplacer pour trouver ces biens. La façon la plus récurrente pour trouver un bien est de prospecter les propriétés d’un territoire donné (en analysant leur potentiel de reconversion) ou en répondant à des appels à d’offre des aménageurs ou des collectivités. Le réseau du responsable du développement est aussi l’une de ses meilleures options et quelque chose de très important dans le métier.

Lorsqu’un bien a été trouvé il faut ensuite faire un travail d’étude sur l’aspect financier, juridique, technique et architectural, puis négocier les conditions d’acquisition avec les propriétaires.

Comment devenir Responsable du développement ?

Le niveau de formation requis est un Bac +5. Des études de droit et d’immobilier sont appréciées. La formation peut se faire via l’ESPI (École Supérieure des Professions Immobilières), ICH (Immobilier, Construction, Habitat), en école de commerce ou en école d’ingénieurs en travaux publics ou en urbanisme.

Qualités et compétences nécessaires

Avoir une capacité à convaincre et négocier avec ses interlocuteurs est essentiel, ainsi que de la rigueur, une bonne autonomie et une grande disponibilité pour se déplacer vous seront nécessaire pour devenir un bon Responsable de développement.

Quel salaire ?

Le salaire d’un développeur foncier est intimement lié à ses résultats, puisqu’il est rémunéré en grande partie par un système de primes.

La rémunération d’un développeur foncier, si elle commence à des niveaux de 35 000 à 40 000€ brut annuel, peut rapidement atteindre des montants élevés après quelques années d’expérience, dépassant les 90 000€ annuels primes incluses.

Perspectives d’évolution

Après plusieurs années d’expérience, il est possible d’accéder au poste de directeur du développement ou d’agence.

Journée type : Marc S. - Responsable du développement chez un promoteur parisien

Marc, le responsable du développement chez X promotion arrive comme tous les matins à son bureau. Il va commencer par fixer un rendez-vous dans l’après-midi avec le propriétaire d’un terrain sur lequel il travaille depuis 1 mois pour négocier le prix d’achat et les conditions de vente. Le terrain intéresse fortement Marc car d’après ce qu’il a vu et calculé ce terrain a un beau potentiel. Au préalable il a réalisé différentes études pour définir la faisabilité du projet qu’il souhaite réaliser et les résultats sont prometteurs.

Ensuite, Marc va rechercher sur internet et dans ses contacts un terrain à vendre dans un autre secteur pour développer un nouveau projet. Cette recherche va lui prendre toute la matinée mais va porter ses fruits. Au retour de sa pause déjeuner il a reçu un mail d’un ancien collègue qui lui propose un terrain dans la zone recherchée. Il l’appelle immédiatement et fixe un rendez-vous en fin d’après-midi pour le visiter. De plus, Marc a trouvé une annonce sur internet d’une vielle maison en mauvaise état mais avec un très beau terrain. Là aussi Marc s’empresse de contacter le vendeur et fixe un rendez-vous pour le lendemain.

Maintenant que Marc a fixé des rendez-vous pour visiter ces biens, il va prendre quelques heures pour commencer à estimer le prix, la faisabilité du projet, les difficultés qu’il pourrait rencontrer …

Il est l’heure de son premier rendez-vous pour négocier le prix du terrain sur lequel il travaille depuis 1 mois. Il commence à bien connaitre le propriétaire du terrain car il l’a déjà rencontré plusieurs fois et est en contact avec lui plusieurs fois par semaine. La négociation commence. Malheureusement pour Marc, après une heure de négociation, ils n’arrivent pas à s’entendre sur le prix et repart sans la signature. Il va devoir en parler avec la direction pour décider de l’avenir de ce projet et voir s’ils peuvent se permettre de payer le terrain plus cher que prévu.

Viens ensuite le moment de son rendez-vous avec son ancien collègue. Marc prend sa voiture et se rend sur le lieu de rendez vous. Marc et son ancien collègue visitent le terrain, parlent du prix, des conditions techniques et juridiques liées à la commune et le plan local d’urbanisme… Au final, le terrain intéresse beaucoup Marc car les conditions et le prix sont plus avantageux que ce qu’il avait calculé. Il va donc commencer une étude plus poussée du projet.

Marc a déjà fini sa journée et a hâte d’être le lendemain car il va visiter le terrain qu’il a trouvé sur internet.

Pourquoi un blog ?

“En 10 ans, la part de la VEFA dans la production du logement social n'a cessé d'augmenter.

Alors que les métiers de la maîtrise d'ouvrage privée et sociale s'imbriquent après une historique séparation, il est aujourd'hui nécessaire de créer des espaces de dialogue pour que les opérationnels échangent sur leurs pratiques et appréhendent mieux les besoins de leurs confrères.

C'est l'objet de ce blog : proposer des articles ciblés pour répondre aux questions quotidiennes des opérationnels."

Margaux Scalisi
Fondatrice et CEO

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